L'article conservé sur le web !
On est loin maintenant des articles de journaux découpés et conservés dans des cahiers. Il faut dire qu’ils étaient souvent jaunis…ou jamais découpés et oubliés dans un tas de journaux.
Celui-ci je ne l’avais jamais vu et je l’ai découvert en surfant sur le web !
Je le copie ci-dessous :
La vie professionnelle d’Erika Paugam a déjà été très variée. Après avoir été, entre autres, entrepreneuse, comptable ou directrice de centre de vacances, elle a décidé de vivre de sa passion : la broderie. Diplômée des Beaux-Arts, elle a installé voici un an et demi, un atelier qu’elle a baptisé La Broderik. « C’est un jeu de mots entre broderie et l’acronyme de mon prénom R. I. K. », précise-t-elle.
Dans son atelier de Ty-Héré, Erika réalise des pièces uniques. Elle brode des motifs, des logos ou des mots sur du linge de maison qu’elle achète au Portugal ou au Danemark. « Je suis très sensible à l’origine des produits. Malheureusement, la France a perdu depuis longtemps le savoir-faire industriel en matière de tissu-éponge. Les fournisseurs avec lesquels je travaille respectent tous les standards européens et utilisent des produits certifiés par des labels indépendants. »
Serviettes en lin, bavoirs, coussins…
Elle confectionne aussi elle-même quelques articles qu’elle ne trouve pas chez ses fournisseurs comme des serviettes en lin, des bavoirs, des capes, des coussins ou des mini-gants de toilette. Cette gamme d’articles a été baptisée Mad’ig Breizh.
Les clients ont le choix entre 25 couleurs de serviettes disponibles en trois tailles. Le client choisit aussi la couleur du fil et de la police d’écriture ainsi que le motif souhaité qu’il choisit dans le catalogue. « J’envoie toujours le visuel au client avant de broder. On adapte au goût du client, à la sensibilité, à l’âge de la personne », précise Erika. L’article est alors prêt en une dizaine de jours. « Si le client désire un motif qui ne figure pas au catalogue, c’est plus long. Il faut que ça m’inspire. Je dois trouver l’idée. Je fais ça ponctuellement. »
Ce que je trouve positif dans ce genre de chose, c’est que je peux voir le chemin accompli entre le moment où j’ai reçu la journaliste et aujourd’hui 🙂
Et à votre niveau de l’autre côté de l’écran, le petit article dans les pages d’un journal local (bien que regroupant tout l’ouest de la France !) permet de bien mesurer qui est derrière l’entreprise (une seule personne évidemment, et c’est moi ahaha) et j’espère que cela vous donne à la fois confiance en mes articles et envie de commander des produits sur-mesure, spécialement réalisés pour vous 😉